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De profundis / Nicolas Bauche
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Au fond, c'est toujours la même chose : quand on passe le seuil du cabinet de Ramsès (Karim Leklou), c'est un mélange de désespoir et de croyance païenne en l'au-delà qui en est à l'origine. Voyant d'opérette dans un trois-pièces-cuisine transformé en antre de la magie, l'intercesseur avec les défunts et le monde d'outre-tombe est en fait un arnaqueur 2.0.
Voir le numéro de la revue «Positif, 745, 03/23»
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