0 avis
Ohad Naharin / Emmanuelle Bouchez
Article
Meurtri par les heures sombres qui secouent son pays, le chorégraphe israélien trouve un semblant de répit à l'Opéra de Paris. Où il défend, toujours, la danse comme force de vie.
Voir le numéro de la revue «Télérama, 3866, 17/02/24»
Autres articles du numéro «Télérama»